La première phase desinscriptions universitaires doit prendre fin aujourd’hui, pour être suivie du 4au 5 aout par la phase de confirmation, une étape indispensable. S’enclenchera ensuite la seconde phasequi va porter sur le traitement informatique des demandes enregistrées auniveau de la plate-forme mise en place à cet effet par le ministère de l’Enseignementsupérieur. Les résultats de de cette phase sont attendus pour le 11 aout.
Cette année, le ministère a reconsidérétotalement le mode des inscriptions, réduisant notamment à quatre le nombrede choix possibles offerts à chaque étudiant. Souci d’efficacité et de rigueursont à l’origine de ce changement, a expliqué le ministre de l’EnseignementTahar Hadjar.
Le premier cas concerne tous lesétudiants dont le choix est accepté, ces derniers n’ont plus qu’à attendre laphase des inscriptions administratives prévues du 10 au 14 septembre.
Le deuxième cas, est l’inverse dupremier, et concerne tous les étudiants dont les quatre choix faits ne sont pasretenus. Obligation pour eux de prendre une deuxième inscription en intégrant obligatoirementdans leur choix le LMD
Pour le troisième choix, ilconcerne tous les bacheliers qui briguent les filières d’excellent et les grandesécoles. Pour cela , ils doivent passerpar la case des entretiens prévus du 11au 13 auôt
Enfin, le 4ème cas concerne les étudiantsdont le 1er choix est accepté, mais dans une ville autre que cellechoisie.
Comme toujours, Médecine, Pharmacie,et un degré moindre, les études vétérinaires sont les plus convoitées. Unemoyenne minimum de 15/20 est exigée. Ce sont les bacheliers admis en sciencesexpérimentales qui sont prioritaires, suivis des détenteurs du Bac mathématiqueet technique mathématique.
Pour les littéraires, la filière Interprétariat, reste laplus prisée, suivie de la langue française et anglaise, à l’institut de langues estrangères(ILE)
Si le ministre a assuré que chaque nouveau bachelier a droità une place pédagogique, beaucoup risquent néanmoins de faire un choix par défaut, fautede moyenne requise ou d’attendre carrément l’année prochaine pour repasser lebac.