Une chercheuse algérienne établie aux USA vient de fabriquer un vaccin contre le paludisme approuvé par l'organisation mondiale de la santé.
Il s'agit de Djamila Louahed qui vient de conclure ses recherches post-doctorales avec une société de biotechnologie basée à Philadelphie par la fabrication d'un vaccin antipaludique.
Ce dernier a reçu l'approbation complète de l'OMS le mois dernier, donnant au monde de l'espoir contre cette maladie qui tue 500 000 personnes par an, principalement des enfants de moins de cinq ans.
L'ambassade des États-Unis d'Amérique en Algérie, qui révèle l'information, souligne dans un communiqué que "la scientifique algérienne Djamila Louahed, responsable du développement de la recherche mondiale pour la branche vaccins de GlaxoSmithKline, est l'exemple d'un Algérien qui a étudié aux États-Unis et qui a ensuite redonné au monde. Jamila avait terminé son doctorat avec Ludwig Cancer Research à New York, avant de faire des recherches post-doctorales avec une société de biotechnologie basée à Philadelphie, acquérant ainsi une expertise précieuse. Le vaccin antipaludique de la société a reçu l'approbation complète de l'OMS le mois dernier, donnant au monde de l'espoir contre cette maladie qui tue 500 000 personnes par an, principalement des enfants de moins de cinq ans".