c'est un Soufiane Djilali encore groggy, un semaine après les élection législatives, qui s'est présenté samedi devant le journalistes pour commenter cette consultation électorale qui n'a pas souri à son parti, avec un unique siège, qui plus est à El Oued, où, comble de paradoxe, il ne compte pas de militants.
Malgré ce résultats dérisoire, qui lui a d'alleurs valu d'être copieusement moqué sur les réseaux sociaux, le président de Jil Djadid persite et signe en défendant le principe de la participation de son parti à l'election même s'il juge "les résultats injustes" à l'égard de sa formation.
Soufiane Djlali confesse volontiers que son parti "a échoué à convaincre les algériens de se rendre masiivement aux bureaux de vote pour renouveler les institutions", ajoutant que "notre but était de trouver d'abord une solution à la crise politique institutionnelle et non de chercher des sièges".
L'orateur, qui a du mal à cacher son amertume, pointe dans son propos "une alliance objective entre les partis qui ont appelé au boycott et et des personnes à l'intérieur du système qui ont favorisé la victoire des partis de l'establishement".
Tout en expliquant que son parti "n'a pas soutenu le programme du président de la République, mais une feuille de route pour une sortie de crise" Soufiane Djilal écarte totalement toure possiblité d'integrer le futur éxécutif qi sera issue d'une majorité légale, mais sans légitimité populaire" assènera t-il.
Enin Soufiane Djilali ne retient pas ses coups contre l'ANIE de Mohamed Charfi, lui reprochant un manque de maitrise et de savoir faire dans la gestion de l'opration électorale, allant même jusquè à soutenir que certains de ses membres au niveau local ont roulé pour des candidats du système.
Mais malgré la claque électorale, le chf de Jil Djadid tente de prendre de la hauteur par rapport à l'événement il lance un appel la classe politique a "avoir une relêxion rationalle et objective et prendre consicience du fait que l'intérêt de l'Algérie est supérieur à des postes virtuelles"