Le secrétaire général du Front de Libération National (FLN), M.Djamel Ould Abbès a assuré, samedi, qu'aucun des travailleurs algériens ne perdra son emploi à cause de la crise financière que connait le pays.

Il a souligné que l'Etat a les moyens pour faire face à cette difficile conjoncture économique que traverse l'Algérie suite à la chute du prix du baril du pétrole. Ould Abbès, qui animait un meeting électoral à Tizi Ouzou, a dans le même sillage souligné que personne ne pourra toucher aux entreprises publiques qui sont "un des acquis de la Glorieuse révolution de Novembre 1954".

Vraisemblablement irrité par des leaders politiques notamment le président du Mouvement Populaire Algérien (MPA), qui appellent à mettre de côté la légitimité historique, Il a rappelé que le "FLN est né ici en Kabylie et dans les Aurès". 

Pour Ould Abbès, "le FLN est en droit d'entretenir la légitimité historique que peut personne ne peut lui retirer".

Abordant le développement local à Tizi Ouzou, le SG du FLN a relevé le problème du foncier auquel de nombreux projets sont confrontés avant de prendre l'engagement de dégeler le projet de réalisation d'un second CHU ainsi que l’inscription d’autres projets importants au profit de cette wilaya qu’il veut voir devenir « une grande Suisse » et non "petite Suisse".

Perturbé par des coupures incessantes du courant électrique qui l'ont obligé à interrompre son discours à maintes reprises, Djamel Ould Abbès n'a pas manqué de crier à des "actes de sabotage" contre son parti". Raison pour laquelle, il a été contraint d'écourter son intervention.