Animant unpoint de presse avant le début de la réunion d’une réunion de son instance,mardi après- midi, pour débattre du bilan de la phase-aller du championnat etla préparation et la préparation de la période à venir, le président de la LFP,Mahfoud Kerbadj a essayé de balayer les clivages et autres polémique avec laFAF.
Le présidentde la LFP a usé d’un angélisme à laisser coi ! Selon lui tout baigne avec l’instancede Dely- Ibrahim et toutes les supputations rapportées sans cesse par lesmédias ne seraient qu’une simple vue de l’esprit. «Nous ne sommes en guerreavec personne !» a-t-il ainsi clamé.
Exit, donc, lescoups de gueule et prises de bec régulièrement échangées entre lui le présidentde la fédération, Kheirdine Zetchi.
Exit les menaces sous- jacentes dans lapromesse de postuler à un nouveau mandat, fort d’un appui supposé de tous les présidentsde L1 et L2, présents au moindre conclave de la Ligue mais aux abonnés absentsau symposium d’importance tenu récemment, portant sur le renouveau du footballnational, pourtant.
Qui MahfoudKerbadj veut-il duper avec un tel discours de façade ?
En soi, lefait aurait pu ne pas intéresser l’opinion publique, n’était cette crainte, désormaisconfortée, de voir la discipline sacrifiée sur l’autel d’égos mal venus, d’intérêtsétroits et de guéguerre dont justement Kerbadj ne veut pas dire le nom. Qu’àlui n’en déplaise !