Comme ce fut le cas pour Transparancy International, l’Algérie a été à nouveau épinglée par les organisations internationales, notamment Freedom House dans son rapport sur les libertés dans le monde en 2017 qui l’a classée parmi les pays «non libres».
Freedom House, a procédé au classement de 195 pays sur le plan politique, liberté de la presse ainsi que les libertés civiles. L’Algérie ayant obtenu un score médiocre de 35/100 au total avec une note de cinq pour les libertés civiles et six pour les libertés politiques. Elle figure parmi les 49 pays considérés comme «non libres», tout comme le Venezuela, la Jordanie, le Zimbabwe.
Cependant, elle ne fait pas partie des 11 pays classés comme « les pires », Il s’agit de la Syrie, de la Corée du Nord, de l’Ouzbékistan, de l’Erythrée, du Sud-Soudan, de la Somalie, du Soudan, de la Guinée équatoriale, du Turkménistan, de la République de Centrafrique et de l’Arabie Saoudite.
Par ailleurs, la Tunisie a été l’exception en étant le seul pays arabe considéré comme « pays libre » par Freedom House, avec une note de 78/100.
S’agissant de la catégorie « pays libres » qui compte 87 nations, on retrouve la Finlande, la Norvège et la Suède qui ont obtenu un score maximal de 100, suivis par les Pays-Bas et le Canada avec 99, ensuite, la Nouvelle Zélande l’Uruguay l’Australie dont le score est de 98, ainsi que La France (91) et des États-Unis (90).