L’acquisition du vaccin contrela Covid-19 cristallise actuellement l’opinion publique en Algérie , au moment où en Europe « les premiersde cordées » ont déjà reçu leurs premières injections.
Si les autorités nationales n’ontpas encore fixé leur choix sur le non du vaccin, qui pose visiblement problème,au plan financier la question est déjà tranchée , à en croire le ministre des Finances qui a annoncé lundi que son département a alloué un budget spécial pour l’acquisitionde vaccin coronavirus.
« Rien n’est plus chersur le santé les algériens » a lancé , Aymen Benabderrahmane, ajoutant que «l’état n’épargnera pas l’argent au détriment de le santé les citoyens ».
Outre la question du vaccin , le ministre a profité pour revenir sur la situationfinancière du pays et plus particulièrement sur les réserves de change, assurantqu’elles sont plutôt «considérables, contrairement à ce qui est relevé par certains rapportsinternationaux, voire nationaux ».
Sur ce même point, il a indiqué que son secteur compte préserverces réserves à travers les nouvelles mesures décidées, notamment le réductionde le facture de l’importation.