Frondeurs -par atavisme- que noussommes et éternels aigris -devant l’Eternel- nous devrions pourtant admettreque -somme toute- il fait encore bon être algérien, de nos jours.
Par coronavirus avenant, surtout !
Et oui. Dans cette crise sanitaire aiguë qui tétanise la planète toute entière, nous en payons moins les dégâts. Moins-d’évidence- que les nations avancées les plus huppées, en la matière.
Le fait n’est pas forcément le fruitdu hasard et reste toujours à trouver.
Et nous en paierons assurément moins,quand les institutions de l’Etat se mettent à l’avant garde dans l‘acquisition du précieux vaccin.
Et encore ?
Ben, oui.
Nous n’avons-alors -pas de rupture destocks- fatale- alimentaire, ni médicamenteuse.
Ni rupture d’eau, ni d’électricité.
Ni de cessation de paiement dessalaires et de pensions de retraite.
Par ces temps de vaches ’’pétrolières’’ maigres,encore. Et en l’absence -pour Covid, zut !- du Premier magistrat du pays,c’est quasiment la lampe merveilleuse de Saladin qui semble éclairer unlabyrinthe fait de neuf mois d’affres véritables !
Et oui. Ça roule, ça travaille, çahabite, ça vit en Algérie- peut être bien mieux qu’ailleurs-
Y a même l’opposition, de la politique, quis’agite et les partis, ‘’de la lèche’’, qui cogitent- tiens !-
C’est quand même l’image proche d’unpays qui se tient -et se tient bien- que d’une république bananière, non ?