Rachid Nadil a commencé par rappeler que cette opération d'élimination définitive du plomb de l'essence a été lancée depuis près d'un an de par l’arrêt définitif de sa production au niveau des raffineries et le nettoyage des réservoirs des résidus de plomb.
Il mettra en avant, ensuite, l’impact «positif», juge-t-il, de cette décision sur l'économie nationale, expliquant qu’elle devrait permettre non seulement la réduction des coûts de la production et de raffinage mais, également, l’arrêt de l’importation des carburants, invoquant sur ce dernier point, la capacité de production, d'une seule essence, par Sonatrach qui dépasse 4 millions tonnes/an au moment où les besoins du marché national se situent aux alentours de 3,74 tonnes.
Et pas que, puisque le président de l'ARH citera nombre d’autres avantages pour les automobilistes, pointant dans cette veine, la longévité des véhicules notamment les bougies et l'augmentation de l'intervalle de changement d'huile et de catalyseur.
Rachid Nadil conclura, enfin que «Les distributeurs, et à leur tête Naftal, ont entamé l'élimination des résidus de plomb du réseau de distribution avec un contrôle régulier de l'existence de résidus de plomb au niveau des réservoirs de tous les centres de stockage et les stations de service».a-t-il soutenu.