A pied d’œuvre à Doha, au Qatar où elle effectue sa préparation précompétitive à la phase finale de la CAN-2021 devant débuter, à partir du 9 janvier au Cameroun, la sélection nationale quelques couacs qui turlupinent un chouia, le coach, Djamel Belmadi.
En effet et déjà à a veille de son premier amical, samedi face à la Gambie fait face à des défections en cascade, à travers les absences, pour raisons sanitaires de Belaïli, Tougaï et Benayada, tous trois en confinement ainsi que celles du keeper Mbolhi, son second, Zeghba et Bounedjah, retenus par leurs clubs respectifs, en Arabie Saoudite et au Qatar.
Mais ce qui agace par-dessus tout le sélectionneur national, c’est la situation de son fer de lance, Youcef Belaïli, actuellement sans club après une résiliation intempestive de son contrat avec Qatar SC.
«Belaïli et moi avons discuté quant à sa situation contractuelle. Je ne sais pas si d'ici le début de la CAN il aura trouvé un club. Démarrer un tournoi sans club n'est pas la meilleure des situations», dira Belmadi, en réponse à une question, lors de la conférence de presse, tenue, jeudi à Doha.
Prenant la chose avec philosophie, et tact surtout, le patron des Verts soutiendra que «Je sais que Belaïli sera focalisé sur l'équipe nationale quoi qu'il arrive quand le tournoi débutera, je n'ai pas d'inquiétude là-dessus. Pour sa situation médicale, je sais qu'il va nous rejoindre peut-être demain ou après-demain. Nous sommes en contact régulier avec lui. HamdouAllah, il est quasi asymptomatique», a-t-il conclu.