Le ministre de la Justice, intervenant mardi à la rencontreorganisée par le ministre de la Communication avec les syndicats desjournalistes, est formel : « Il n’y a pas en Algérie un seul journaliste en prisonen raison de ses écrits" dit-il, expliquant que la Constitution algérienne adécriminalisé le délit de presse.
« A ma connaissance, les journalistes qui sontactuellement en détention préventive, font l’objet de poursuites qui relèvent dudroit commun et non rien à voir avec leur activité, même si les choses sontprésentés parfois comme telles », ajoute Belkacem Zeghmati.
Pour le Garde des sceaux, un journaliste, en dehors de l’exercicede son activité reste un justiciable comme les autres et doit faire l’objet depoursuites judiciaires selon la loi, s’il commet un délit qui relève du droit commun.