Le gouvernement est confronté à un vrai casse -tête à propos des centaines d'entreprises ANSEJ qui sont en situation de quasi faillite financière, du fait du non aboutissement des projet ou des détournements des prêts bancaires.
Ces starts up qui sont au nombre de 380.000, selon le ministre-délégué chargé de la micro-entreprise, Nassim Diafat, qui s'exprimait dimanche sur les ondes de la radio,sont à 70%, en grande difficultés financière, excluant toutefois tout possibilité d’effacement des dettes,tout en préconisant un nouveau rééchelonnement de cinq ans.
Ceux qui ont détourné les prêts bancaires ne feront pas l'objet de poursuites pénales, mais ils doivent rembourser , selon un échéancier, précise encore le ministre vent debout contre ce qu'il qualifie de "l'assistanat" et de "l'impunité"
"Ils ne peuvent pas s'exonérer de leur responsabilité, c'est de l'argent des algériens, ils doivent le rembourser, ajoute le ministre" en allusion aux bénéficiaires des crédits , rappelant que des instructions ont été données dans ce sens par le président la République