Les doyens et les professeurs des universitésnotamment celles des sciences humaines sont soumis à une terrible pression. A quelques jours du concours du doctorat prévule 13 de ce mois, les professeurs ont en effet, du mal à entamer les procéduresadministratives via le nouveau logiciel «Progress» mis en place par leministre.

Ce système numérique qui devait fludifier lespréparatifs est devenu un goulot d’étranglement. «A quinze jours du concoursnous n’avons pratiquement rien fait, la connexion au  logiciel est tellement lente qu’il estimpossible d’ouvrir un fichier» peste un professeur chargé du doctorat.

Plutôt que de laisser l’autonomie à chaqueuniversité d’effectuer la préparation des documents et le tri des candidats audoctorat, le ministre a préferé centraliser toutes les opérations à son niveau.Du coup, la date du concours risque tout simplement d’être reportée tant lelogiciel «Progress»… n’avance plus !