A nouveau, et sans répit, lesmassacres sur la route continuent. Samedi en soirée, un criminel sur semiremorque, sur l’axe Ben Aknoun-Zéralda a tué toute une jeune famille. Rayée del’état- civil, d’un seul coup !
Ces terros d’un genre nouveau ne sereconnaissent plus de limites.
Ils vous font passer un homme- ou toute une communauté-de vie à trépas ou égorgent un môme, comme le ferait un païen sur l’autel dessacrifices. La conscience adossée à une belle impunité !
Ceci pour la première horreur.
La seconde tient de l’inénarrable indifférencetout aussi bien de l’Etat que de ses sujets. Et de ces derniers encore plus.
Car pour un toit, un job, de l’eau, des sous, voire pourrien et pire pour libérer un dealer arrêté parfois, ça brûle des pneus, ferme desroutes, hurle et vocifère.
Mais de mémoire d’homme, nullesouvenance d’une protesta nationale contre ceux qui se sont arrogésle droit -sans user d’armes létales- de prendre la vie des autres.
C’est vraiment là où l’horreurculmine !