Improbable Assemblée populaireCommunale ? Comme les frasques inénarrables de ses augustes élus, frappés de servitude, ne l’indiquent pas, l’Apc de Chéraga s’est livrée à une véritablestratégie de l’effeuillage de ses infrastructures communales, voire sespropres prérogatives, durant ce mandat en cours.

Ainsi, la Salle des Fêtes, refaite àcoups de milliards et quelques transactions obscures, a été cédée à la Wilayad’Alger, via un organisme culturel, qui fait payer l’entrée à 700 DA sansemployer le moindre quidam autochtone. Idem pour le Centre Culturel de la villeet la Maison des Associations locales, dévoyés au profit d’un conservatoirequ’Abdelkader Zoukh avait inauguré en grande pompe.

Le même Zoukh s’est vu royalementoffert, à l’instigation du seul P/APC, les 120 logements de Sidi Hacène, autire du ‘’social’’ après avoir foulé aux pieds une délibération en bonne et dueforme portant sur le caractère de ‘’logements communaux’’.

Enfin et coincé entre le projet enchantier de la résidence huppée, à hauteur de l’ex Souk el Fellah et lesnouveaux logements- LSP, l’espace destiné au départ au parking du site a étéconcédé pour l’édification de duplex, où selon de mauvaises langues ‘’Monsieurle Wali d’Alger’’ a réservé un appart à sa fille.

Last but not least, le comble ducocasse reste cette décision récente de transférer quelque 200 milliards, autitre d’un excédent budgétaire à la Wilaya d’Alger.

Anecdotique, au vu de laclochardisation d’une ville qui croule sous  les ordures, notamment certains quartiers  qui subissent les représailles d’un maire malélu.