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Une adepte du jihad sexuel : On m’a promis le Paradis, alors je me suis livrée à 152 hommes

29-09-2013 09:25  Abbès Zineb

Dans son édition du vendredi 27 septembre 2013 l’hebdomadaire Al Mijhar est revenu sur le témoignage d’une jeune tunisienne revenue de Syrie après un long voyage entre les bras des mercenaires-terroristes de Jabhat Al Nosra… « Vous irez au Paradis, ma sœur » est la promesse qu’on lui a faite avant de la convaincre de partir en Syrie pour le jihad sexuel. Elle a 21 ans. Voilée depuis l’âge de 17 ans. Elle suivait des cours d’Histoire à la Faculté de la Manouba avant d’abandonner ses études et de partir en Syrie en compagnie de son époux répondant au nom de Orfi.

C’est en juin 2012 qu’elle a quitté le territoire tunisien pour la Turquie où elle a passé une semaine avant de se rendre en Syrie. Arrivée au Mont Al-Arbaine, son époux lui imposa le port du niqab et lui expliqua ce que c’était le djihad al nikah (la guerre sainte sexuelle).

Divorcée sur le champ d'avec Orfi, la jeune femme se maria avec l’un des leaders de Jabhat al Norsra, Abou Ayoub. Une fois que ce dernier ait assouvi ses bas indistincts elle est répudiée pour lui permettre de se marier avec un autre djihadiste… Et puis un autre et encore un autre… Au total, elle eut 152 « époux ». Il faut dire que cette jihadiste du sexe, ex étudiante en Histoire, est plutôt férue de mathématiques

Chaque semaine, chaque adepte du jihad sexuel avait droit à 5 nouveaux « époux ». L’heureuse union de la djihadiste du nikah et de son "époux" ne durait que quelques heures, le temps que les désirs du djihadiste soient assouvis…

Selon le récit de la jeune jihadiste, nulle n’avait le droit au répit à moins qu’elle ne soit en période de menstruations. La jeune fille a, par ailleurs, indiqué que, mis à part le rituel sexuel ardu auquel elles se livraient, les jihadistes du nikah s’occupaient, également, des tâches ménagères.

Elle a ajouté que femmes et hommes souffraient de maladies sexuellement transmissibles (M.S.T.) et de maladies dermatologiques en raison du manque de médicaments, d’hygiène et d'assainissement.

Ce n’est qu’en août 2013 que la jeune jhadiste du sexe est revenue en Tunisie, enceinte de six mois et sans son époux Orfi. Ce dernier a été exécuté avec d’autres Tunisiens par les membres de Jabhat Al Nosra et ce pour rébellion contre l’autorité de l’émir…( Avec Tuniscope)



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