Larestructuration des services de sécurité décidée par le Président dela République ne semble pas gêner un influent chef de cabinet d’un sensibleministère.
Cesexagénaire, ancien député RND, chef de cabinet de trois ministres successifs (Ziari, Boudiaf et Hasbellaoui, un record) au sein du même départementministériel, se targue et usite ( comme d’un épouvantail) le grade de colonelde son frère pourtant limogé du DRS …qu’il faisait passer, le trafic d’influence n’étant pas la moindre deses sphères d’influence, pour un... général !
Tétanisés,les cadres du ministère obéissaient plus à sa personne qu’aux domaines de laloi et du règlement lorsqu’il s’agissait de mutations et de promotions auniveau des wilayas.
Notrecomparse multiplie, depuis le dernier remaniement ministériel, les courbettesau nouveau ministre et autres facéties indignes d’un cadre de la nation pour semaintenir en poste lui qui a dépassé l’âge légal de la retraite.
Vainestentatives, rétorquent les nombreux professeurs universitaires dont regorge leministère, d’autant, pour pallier à une situation loufoque, héritage duministre partant, que le département est doté d’un professionnel du secteur,qui nommera, murmure t-on, pour le moins, un connaisseur et surtoutrespectueux du métier si cher aux hospitalo-universitaires.