On le passerait au tamis, le Trump, qu’on lui trouverait pas une once de qualitéprésidentielle - digne de ce rang- tellement ses frasques obstruent l’entendement politique, pur jus.
Mais dans ce magma du politiquementincorrect, le ‘’ Grand blond platine’’ vous sort parfois de ces vérités quivous laissent dormir moins bête.
A l’adresse de son ami le roi Salmaned’Arabie, il s’est laissé aller à confesse.
«Nous protégeons l’Arabie saoudite.Ils sont riches. J’aime le roi Salmane».
Avant que -ému aux larmes- il ne s’épanchât.
«Nous vous protégeons, mais vous neresteriez pas au pouvoir pour deux semaines sans nous, vous devez payer pourvos capacités militaires». C’est par ici, la caisse !
On attend -depuis- que le gardien desDeux Lieux saints de l’Islam pourfende son Premier bodyguard.
Comme il l’a fait -l’autrefois- dusupporter lambda d’Aïn Mlila.
Le jour où le sel fera pousser desfleurs !