La scène nationale vient -de nouveau-d’être secouée par un kidnapping suivi d’un crime. Abject. Crapuleux. Horrible.Et ce n’est pas dire assez !
Une teenager a été enlevée,séquestrée, torturée, violée avant d’être immolée par le feu, à l’est d’Alger.
L’auteur- un repris de justice-appartient à cette race des résidus de la société qui se sont arrogés le droitde disposer de la vie humaine comme bon leur semble. En l’absence d’uneautorité –implacable ?- de l’Etat.
Combien de crime odieux-déjà- pour laseule décennie qui s’écoule, commis sur des enfants, jeunes et moins jeunes,enlevés puis- froidement- tués ?
Pourquoi- surtout- devrait-ons’encombrer de scrupules des droits de l’homme- devenant de facto obsolètes- enface des agissements criminels de monstres avérés ?
Dans les démocraties les plusavancées- à l’instar des USA- la peinede mort existe.
Elle apparait- désormais-incontournable- pour endiguer un fléau social qui prend de l’ampleur. Au moins,permettre aux familles des victimes de faire leur deuil de façon apaisée.
Sinon, au loin, est agité le spectrede la Loi du Talion. Porteuse de bien des fractures dans la société.