Véritable- et indécrottable- pandémienationale, la corruption érigée en mode de gouvernance devait-elle prescrireune véritable thérapie de choc.
Dont les ondes avaient à couvrir dans tous lessens géométriques- verticalement, horizontalement, circonférenciellement- celarge pays gangréné qu’est l’Algérie.
En la matière, l’heure est à l’inédit, à lastupéfaction et à la révulsion.
Ouyahia, Premier ministre- presque parvocation. Sellal, itou. Et plein encore de communs des mortels- qui ont commisl’apostasie de se prendre pour des dieux. Sont en prison. Hébétés. Groggy.Broyés.
Retour d’un boomerang qui a percuté les abysses d’unEtat délétère.
Et vient annoncer les prémices d’une nouvelle République.