Il règne actuellement au sein de la télévision publique " un climat délétère", suite aux multiples changements intervenus dans les différents services.
Mais la tension est plus palpable au sein de la rédaction au sein de laquelle la mise au placard des journalistes ayant servi du temps de Bouteflika est mal acceptée par ces derniers qui se défendent d'être "responsables du contenu informationnel".
Mais la goutte qui risque de faire déborder le vase est la nomination d'une journaliste à la tête de la nouvelle chaîne parlementaire, qui, du point de vue de ses collègues journalistes, n'a pas l'expérience requise pour ce poste.
Cette journaliste a fait partie du staff de campagne du président Tebboune lorsqu'il était en campagne pour la présidentielle du 12 décembre 2019.