«Certainsmaires sont des tares pour le développement local !».
La sentence,lâchée tout récemment, est d’Abdelkader Zoukh, super wali d’Alger la Blanchequi s’obstine à rester noire.
Propos ès-qualité, s’il s’en trouve, d’un homme qui aurait pu concurrencer Kelly Savallas alias ''Kojak'', la série culte des seventies des temps heureux, alors.Justement, les temps où Alger était blanche immaculée.
''AbdelkaderSavallas"", donc, et tout en lissant son crâne poli, a eu de tels mots doux- saformation d’Enarque ne lui permettant pas de lancer des jurons comme "KellyZoukh"" à la télé- à l’égard de certains maires de la Capitale.
Nousfranchement, on valide sec et,- parce que sûrement pas aussi polis que MonsieurZoukh- on dit tout simple que certains maires sont des tarés certifiés.
Exemple cemaire d’une mairie à un vol d’oiseau du front de mer, n’a ni inscrit, niréalisé le moindre projet pour sa commune, pourtant riche et opulente, pendanttout son mandat.
En revanche,la municipalité croule sous les ordures, en dépit de contingents d’effectifs dela voierie. Mobilisés , il est vrai à d’autres fins- immanquablement inavouées-
Où la tarese prononce et le taré se défonce, est qu’un tel spécimen a d’ores et déjà prisrendez-vous avec la prochaine échéance. Tout honte bue !
Et il n’y aqu’un taré pour en boire à grosses gorgées !