A moins dedeux mois de son investiture, Tebboune tente vaille que vaille à dessiner les pourtoursd’un mode de gouvernance. Qui sied à l’ère moderne.
Aux traits d’unesollicitude qui ne semble pas feinte, ni empruntée et une Com. interactive. Pourbousculer des archaïsmes- bien enracinés-
Et servir d’aiguillonà tous les commis de l’Etat ? Que nenni !
C’est qu’enaval, il y a loin de la coupe aux lèvres, en la matière.
Et dans les Apc,ces havres sociaux où les pauvres bougres sont supposés ‘’verser leur cœurs’’ -saignantde turpitudes, au jour le jour- les lignes ne bougent point.
Edifices quasi désertés- ou fuis avant l’heure- pour un grandnombre d’entre elles- y compris celles nichées à un vol d’oiseau de la Capitale-points noirs d’ordures à ne pas en finir, anarchie à tous les coins des rues, lesmairies donnent à Tebboune l’image- parfaite- de l’homme qui prêchait dans le désert.