Maintenant que le président de l’APN est élu, en la personne de Said Bouhadja, une guerre sourde est entrain de se dérouler dans les coulisses du palais Zighoud Youcef pour les postes de responsabilité au niveau des structures permanentes, comme les vice-présidences, les chefs de groupes parlementaires, les commissions permanentes et leurs rapporteurs.
La tension est surtout perceptible au FLN où l’arbitrage de Ould Abbès est attendu pour faire le choix entre les nombreux postulants.
La mise en place de ces structures organiques est une étape importante pour la constitution du bureau de l’APN qui doit arrêter son agenda. Il doit examiner son règlement intérieur, en attendant la déclaration de politique générale que doit faire le nouveau Premier ministre Abdelmadjid Tebboune.