Dans saquête des libertés refoulées et d’une démocratie que tout le monde revendique-mais dont personne n’en semble saisir le concept vrai, l’Algérie-périlleusement-déploie ses spectres.
Comme l’angele ferait de ses ailes. Ou le démon de ses fatras qui font peur. C’est selon.
Spectres del’anathème. De l’offense. De l’invective. Du manichéisme.
Bêtes etméchants.
Spectres dela haine. Du sectarisme. De l’insulte à l’entendement. Et aux minimas de laRaison.
Imbéciles-d’imbéciles- et fats.
Spectres-enfin- de la banqueroute nationale. Et- conséquemment- de la rupture sociale. Et-subséquemment- de l’euthanasie collective.
C’est- toutcela, un peu- l’histoire du serpent qui se mord la queue.
Unechronique cruciale du pays. A travers le prisme le plus déformant.