Des "complots" d'organisations non gouvernementales (ONG) qui visaient l'Algérie à l'occasion de la tenue des dernières présidentielles ont été déjoués malgré le contexte géopolitique "très difficile" dans lequel le pays se trouve.

C'est ce que le premier ministre Abdelmalek Sellal a affirmé, jeudi, lorsqu'il répondait aux députés dans le cadre du débat sur le plan d'action du gouvernement en soulignant que l'Algérie est "souveraine" et "personne ne peut lui dicter ses décisions".

Sellal n'a pas manqué l'occasion de relever un "bouillonnement" du fait du trafic de drogue et d'armes ainsi que d'actes de terrorisme allant jusqu'à qualifier ces faits d'"actions" visant l'Algérie à s'ingérer dans les affaires d'autrui, afin d'affaiblir son Armée nationale populaire (ANP)". Pour lui, ces complots ont été déjoués "grâce à la politique menée par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, et tous ceux qui sont fidèles à l'Algérie"

Le premier  ministre  a souligné que "notre pays demeure, dans ce sens, fidèle aux principes de la Révolution du 1er Novembre 1954 et au serment de nos glorieux martyrs et moudjahidine".