Je ne prétendrais point porter atteinte à l’humilité quivous habille, latente aux yeux de l’homme mais patente, sans doute aucun, àl’omnipotence de Dieu, en déclinant les détails qui motivent ma présente lettrede remerciements.
Une humilité qui aura, naturellement, enfanté cettesollicitude avérée qu’aujourd’hui un père, en pleine détresse, a pu vérifier etqui n’a d’égale en grandeur, que votre grade et vos fonctions, du fait, magnanime,que vous ayez donné suite à des doléances portées à toutes les portes, restéesdésespérément fermées, sauf la vôtre !
Il me suffirait de dire que vous avez apporté la lumière endes abysses sombres, obscurcies par les vicissitudes de la vie et rallumé lescierges de l’espoir dans un foyer que même le sourire des enfants n’arrivaitplus à éclairer.
Plus encore que cette lumière apportée à mon fils, malade,notre bonheur reste de savoir, à l’heure des grandes indifférences, deségocentrismes et des froideurs inhumaines, qu’il demeure toujours des hommesbons par nature, humanistes par atavisme et altruistes par vocation.
Ainsi et de Benali Cherif à Bouchemal, à Benrabah, àMeliani, et Malek, une formidable chaîne de solidarité nouée par des Hommes épris debienveillance et qui a fait le lit à votre mansuétude et votre sollicitude,pour faire sortir toute une famille du désespoir.
De ce fait, qu’il nous soit permis, monsieur le DirecteurGénéral et n’ayant que l’expression d’une sincère et profonde gratitude à vousoffrir, d’implorer le Tout-Puissant de vous en accorder Sa juste rétribution etvous préserver ainsi que vos proches et tous vos hommes. Merci, mon général!
Le citoyen NB