Un jeune policier a payé de sa vie, inestimablepour les siens et pour son pays, en accomplissant son moindre devoir, à Tebessa.
Et sauver une femme des griffes d’un violeurpatenté confère au devoir tous les titres de noblesse.
Quid du criminel, un de ces ramassis de la poubelle de la société comme il en foisonne- hélas etdésormais-ces derniers temps !
Qui n’épargnent plus personne, duchérubin au vieillard, de la femme à l’homme, jeune et moins jeune.
Parfois- ou souvent- au membre decorps constitué armé mais tétanisé par une batterie de mesures professionnellesvouées au respect des droits de l’Homme.
Mais alors, et le respect du ''droità la vie'' du policier tué à Tébessa ?
Au moment où Ouyahia accède à la têtede l’Exécutif gouvernemental, on attendra du chef du parti qui, hier, prônait lapeine de mort pour la secte des assassins, qu’il traduise dans les faits sespensées, à présent qu’il a tous les leviers de commande.
L e fait devient aussi une priorité nationaleau vu de cette terrible criminalité en roue libre. Impunie-surtout- quoiqu'on puisse dire!