Freedom House, l'organisation non gouvernementale (ONG) des droits de l'homme et néanmoins financée par le gouvernement Américain semble indésirable en Algérie.
L'un de ses hauts responsables qui arrive aujourd'hui samedi à Alger n'a pas encore trouvé de salle pour animer une conférence de presse dimanche.
Aux dernières nouvelles, ce responsable de la sulfureuse ONG va se réfugier dans les locaux d'un journal pour y rencontrer les journalistes.
Sans doute qu'il sera question de l'activiste Kameledine Fekhar qui vient de cesser sa grève de la faim et de l'arrestation des Ahmadites.
C'est connu, les Américains raffolent de ce genre de sujets qui alimentent leurs rapports sur l’Algérie.