Selon des sources proches du ministère de la justice, un mouvement serait en préparation et qui devra être soumis au Conseil supérieur de la magistrature.
Ce dernier aura au préalable à examiner le cas de certains magistrats déférés devant le conseil de discipline.
Le mouvement est justifié d'abord par le grand nombre de recours des magistrats insatisfaits de leur nouvelle affectation ensuite par la nouvelle politique de gestion de la carrière des magistrats mise en place au ministère consistant à multiplier les mutations au cours de l'année.
Enfin il y a le cas des chefs de Cours qui ont fait l'objet de fin de fonction et qui devront normalement rejoindre la Cour suprême ou le Conseil d’Etat.