Le magnat del’enrobé et président du FCE, Ali Haddad, est tombé en disgrâce dans les hautessphères.
De bien mauvaiseslangues ‘’pendues’’ aux ondes de ‘’Ici, Alger’’- qui n’existe pas du reste- vontjusqu’à jurer que l’austère PM, Abdelmadjid Tebboune, ne le voit plus en…goudron, pardon, peinture !
Les potinsmédiatiques n’en demandaient pas tant pour y entrevoir une grosse semelle àvenir sur le popotin de Monsieur- macadam.
Normal, lapresse est si friande des confits délicieux entre VIP.
Mais qui, sûrement, jubilerait le mieux en gloussant est Tata Louisa, qui a toujours‘’PT’’ les plombs vis à vis de tous les oligarques du monde en général et ceuxdu pays très particulièrement, le patron de l’ETRHB en tête.
Ce qui est, encoreune fois normal, pour une pasionaria des travailleurs.