BernardBajolet- ex ambassadeur de de France en Algérie et tout aussi ex Dgse français-multiplie des sorties médiatiques à l’adresse d’un pays qu’il aime- un peu, beaucoup,à la folie- L’Algérie, pour ne pas la nommer. Et son Président, encore plus.

Ces sortiesont ceci de curieux : ils sont écrits, sous la forme de billets doux- etaigres- sur des parchemins en miel avec de l’encre en fiel.

Sibyllin lepropos ? Validé ! Même par les médias de l’Hexagone où Bajolet sévità doses homéopathiques, faisant fleurir- pour l’occasion- des néologismes antinomiques,genre «l’ambassadeur peu diplomate», pour raconter un peu le Monsieur.

En lamatière Bernard, lui, en met pleins gaz avec sa formule succulemment mortifère «Momificationdu pouvoir» qui déroute Le   Larousse, Le Petit Robert et Wikipédia réunis.

P’titproblème dans l’air, toutefois : on n’a nulle part vu machines et tuyaux «maintenantartificiellement en vie» le chef de l’Etat algérien- sinon des lunettes àscanner les chiffres afférents au PLF 2019- ce mercredi de grâce.

De l’intox désespérément‘’ très peu diplomatique ‘’ ?

Ou, alors, Bajoletforce-t-il un peu trop sur son beaujolais ?