Le ministre de la jeunesse et des sports El Hadi Ould Ali est loin d'être bien dans sa peau à la tête de ce département. En témoignent ses déclarations intempestives lors du feuilleton de la passation de pouvoir au sein de la FAF qui ne reflètent pas sa personnalité.

À sa décharge, il a toujours géré le secteur de la culture à Tizi Ouzou où il cumulait un poste de patron de la direction et premier responsable de la maison de la culture. Justement, son entourage confie qu'il rêve de prendre la place de Azzedine Mihoubi au palais de la culture.

Rassuré de rester au gouvernement après les législatives, Ould Ali fait du lobbying pour atteindre son objectif. Réussira-t-il ? Rendez-vous après le 4 mai.