Algérie 1

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Mutations géostratégiques, conflictualités et sécurité collective au Maghreb et au Sahel

02-01-2019 20:42  Pr Abderrahmane Mebtoul

Cette contribution est une très brève synthèse de  mon intervention   au colloque international Ministère de la défense nationale - Institut  de Documentation, d’Evaluation et  de  Prospective : « Sécurité collective  et nouvelles conflictualités : les défis contemporains de la construction de la paix  qui se tiendra à  Alger 8 janvier 2019 et dont l’intégralité sera  reproduite  dans  revue IMDED-Alger

Je m’incline   d’abord à la mémoire   de nos  valeureux Chouhadas qui nous ont permis une Algérie indépendante.  Au préalable, permettez moi  de remercier son Excellence Mr Abdelaziz BOUTEFLIKA Président de la république, ministre de la défense nationale, de m’avoir désigné pour présider au nom de l’Algérie,  le groupe des 10 organisations non gouvernementales ONG algériennes pour la rencontre du  Sommet de la société civile  des deux rives  de la méditerranée occidentale des 5+5 des chefs d’Etat et de gouvernement qui se tendra en France le 24 juin 2019. Cette importante rencontre  rejoint le thème abordé à savoir,   la problématique de la sécurité collective et de la paix pour une  prospérité partagée au niveau de la région . J’espère être digne de la confiance que  m’a témoignée le Président de la république.  Je  remercie  Mr le Vice Ministre de la défense nationale, chef d’Etat major de l’ANP  et  l’Institut  de Documentation, d’Evaluation et  de  Prospective de cette aimable invitation En cette année 2019, je souhaite  bonheur et prospérité  à l’Algérie éternelle, ni sinistrose, ni autosatisfaction  .

1. L’Algérie, acteur stratégique de stabilité,  au niveau de la région 

L’Algérie est une pièce maîtresse de la stabilité de la région,  à travers les actions  de l’ANP et les différents services de sécurité. C’est que les enjeux au Maghreb et au Sahel préfigurent d’importantes reconfigurations géopolitiques et géoéconomiques dans une zone sensible rentrant  dans le cadre de la nouvelle stratégie mondiale à laquelle l'Algérie ne saurait échapper et d'une manière générale toute l'Afrique. Ces enjeux sont intiment liés aux nouvelles mutations  mondiales actuelles qui  devraient qui conduire à de profondes reconfigurations socio-économiques, technologiques mais également sécuritaires.  La « sécurité collective », expression dont l’usage s’est développé dans les années 1930, constitue une tentative de réponse au déchaînement de violence des deux guerres mondiales du xxe siècle.  Quant à  la formation à la paix (CP), elle soulève des   défis politiques, économiques sécuritaires et notamment   la relation entre la formation et la manière dont les parties externes s’engagent dans le règlement des conflits et notamment  la relation entre les États, les organisations internationales et les sociétés civiles mondiales et locales et leurs influences pour  une paix durable, fondée sur la dialogue des cultures , la tolérance  facteur de stabilité de toute l’humanité pour un monde solidaire . La structuration intégrale de mon intervention qui a été donnée aux organisateurs se présentent comme suit  en deux parties interdépendantes  Premièrement, la  problématique des conflictualités de la  sécurité collective au Maghreb  et au Sahel, posant dans le préambule  : quelques éclaircissements sur le concept de sécurité collective, ensuite l’analyse Le Maghreb face aux mutations géostratégiques mondiales et la  problématique sécuritaire au du Sahe La deuxième partie  traite des axes directeur pour  la construction de la  paix mondiale( CP) face aux mutations géostratégiques , axes directeur pour  la construction de la  paix mondiale( CP), analysant le concept de CP et les  sociétés civiles et le nécessaire dialogue des cultures  L’Algérie est une pièce maîtresse de la stabilité de la région,  à travers les actions  de l’ANP et les différents services de sécurité. C’est que les enjeux au Maghreb et au Sahel préfigurent d’importantes reconfigurations géopolitiques et géoéconomiques dans une zone sensible rentrant  dans le cadre de la nouvelle stratégie mondiale à laquelle l'Algérie ne saurait échapper et d'une manière générale toute l'Afrique.  Ces enjeux sont intiment liés aux nouvelles mutations  mondiales actuelles qui  devraient qui conduire à de profondes reconfigurations socio-économiques, technologiques mais également sécuritaires.  La « sécurité collective », expression dont l’usage s’est développé dans les années 1930, constitue une tentative de réponse au déchaînement de violence des deux guerres mondiales du xxe siècle.  Quant à  la formation à la paix (CP), elle soulève des   défis politiques, économiques sécuritaires et notamment   la relation entre la formation et la manière dont les parties externes s’engagent dans le règlement des conflits et notamment  la relation entre les États, les organisations internationales et les sociétés civiles mondiales et locales et leurs influences pour  une paix durable, fondée sur la dialogue des cultures , la tolérance  facteur de stabilité de toute l’humanité pour un monde solidaire .

2..-Sécurité collective au Maghreb et au Sahel

Aux antipodes de la sécurité par l’équilibre des puissances qui avait marqué le système international au xixesiècle, la sécurité collective repose, elle, sur le « déséquilibre des forces. Ce système a d’abord été institutionnalisé, au lendemain de la Grande Guerre, par la Société des Nations (SDN), puis a été repris en 1945 par l’Organisation des Nations unies (ONU). Loin d’avoir donné les résultats que ses promoteurs avaient placés en lui, il marque néanmoins un tournant dans l’histoire des relations internationales. Une  approche globale comme facteur d’adaptation selon les experts militaires  est nécessaire se au nouveau contexte : la cohérence, l'anticipation, l'adaptabilité, la permanence, la « légitimation » et la « résilience ». C’est que les  crises internationales ont toujours concerné de nombreux acteurs. Mais traditionnellement, en dehors de l’organisation de sécurité collective à vocation universelle et à compétence générale qu’est l’ONU, leur gestion revenait avant tout aux États. Or de nombreux autres acteurs y participent désormais notamment les organisations non gouvernementales et les organisations d’intégration  régionale.  On le constate, le champ est composé d’une multitude d’acteurs et d’approches qui implique de facto un morcellement des actions et une difficulté à avoir un impact significatif sur le terrain. De nombreuses études tentent de catégoriser les principaux acteurs de ces conflictualités émergentes. La plupart d'entre elles opposent les États, dotés de forces armées régulières, à des acteurs non-étatiques, laissant apparaître de nouveaux adversaires. Cette opposition, selon les experts en géostratégie  entre États et acteurs non-étatiques, ne semble pas totalement satisfaisante car elle ne reflète pas l'ensemble des systèmes asymétriques.  En effet, une typologie des acteurs ne peut se faire qu'en prenant en compte plusieurs critères : les motivations, l'organisation et les modes d'action. De  nouvelles conflictualités sont apparues où  leurs acteurs se caractérisent souvent par l'illisibilité de leur organisation, l'imprévisibilité de leurs actions multiformes.qui privilégient la violence dûment mise en scène par la recherche du sensationnel et de la médiatisation.  Grâce aux nouvelles technologies et à leur prolifération non maîtrisée, ces conflictualités sont susceptibles d'utiliser toute la panoplie des capacités actuelles : armement sophistiqué, maîtrise de l'information, diversité des types d'agression  (capacité d'exporter une menace n'importe où dans le monde),  générant  des menaces (cyberdélinquance, cybercriminalité, etc.) qui mettent en évidence l'insuffisance des systèmes de sûreté ou de substitution dans les sociétés modernes. En effet , les   moyens modernes de communication facilitent l'expression libre et la circulation, via les réseaux, des idées les plus extrêmes, dans un but revendicatif, subversif ou prédateur. Elles peuvent atteindre tous les pans de la société : cohésion sociale, légitimité de l'autorité, pertinence du modèle économique, sociétal ou religieux. Ainsi véhiculées, les techniques d'« agression » de toutes natures se propagent, et contribuent d'autant plus à la fragilisation des « cibles » potentielles qu'elles s'appuient souvent sur l'image, support d'émotion et propice aux comparaisons.

3.-Les défis contemporains pour  la construction de la  paix

La Construction pour la paix (CP) est un champ qui se développe rapidement et dont la valeur ajoutée est reconnue aux niveaux des institutions internationales, des Etats, de la société civile. Comme tout autre type de formation, la formation à la paix soulève de nombreuses questions auxquelles nous nous devons de répondre afin de garantir sa qualité  Les défis politiques touchent à la relation entre la formation et la manière dont les parties externes s’engagent dans le règlement des conflits. Cela inclut leurs objectifs et leurs programmes. Les défis politiques comprennent également la relation entre les États, les organisations internationales et les sociétés civiles mondiale et locale et leur influence sur la formation. Il convient également de mentionner les défis politiques inhérents au processus d’apprentissage lui-même.  Les défis politiques sont très étroitement liés au débat sur l’objectif de la formation à la paix, qui est de préparer des individus à avoir une influence positive sur le conflit. Les différents acteurs ont des points de vue disparates quant à la manière de réaliser cela le plus efficacement possible. Par conséquent, il existe parfois une tension entre, d’une part, les processus de paix traditionnels menés par les États (la diplomatie officielle) et par l’armée et, d’autre part, les processus engagés par des civils, qui résultent de traditions telles que la non-violence active et le dialogue à la base. Les deux approches luttent chacune à leur façon pour trouver des solutions aux problèmes contemporains de violence généralisée et de guerre.  Dans sa résolution intitulée Projet de programme mondial pour le dialogue entre les civilisations (A/56/L.3), l’Assemblée générale présente solennellement ce Programme mondial.  Le dialogue entre les civilisations y est décrit comme un processus engagé entre les civilisations et en leur sein, fondé sur l’inclusion et le désir collectif de tirer enseignement d’hypothèses, de mettre en évidence les valeurs communes essentielles et d’y intégrer diverses perspectives.  Au nombre des objectifs du dialogue énoncés dans le programme, figurent notamment la recherche de terrains d’entente entre les civilisations afin de relever les défis qui menacent les valeurs communes, les droits de l’homme et les acquis de l’humanité dans divers domaines. Le dialogue entre les civilisations, est-il indiqué dans le Programme, peut contribuer à des progrès dans différents domaines dont la promotion du renforcement de la confiance aux échelons local, national, régional et international.  Il est également précisé que la participation à ce dialogue doit inclure des membres de toutes les civilisations.  Le programme d’action invite les Etats, le système des Nations Unies et les organisations internationales et régionales ainsi que la société civile à mettre en œuvre notamment des programmes visant à développer le dialogue et la compréhension et à bannir l’intolérance, la violence et le racisme entre les peuples en particulier les jeunes.  Il invite également les gouvernements, les organismes de financement, les organismes de la société civile et le secteur privé à mobiliser les ressources nécessaires à la promotion du dialogue entre les civilisations en contribuant notamment au Fonds d’affectation spéciale créé à cette fin par le Secrétaire général en 1999.  C’est que les conflictualités du monde contemporain et la solution finale la Paix, ne sont  pas seulement économique ou sécuritaire, mais également et surtout  ont pour essence une profonde crise morale devant se fonder sur une profonde rénovation de la perception du monde. Depuis que le monde est monde nos sociétés vivent d’utopie. Comme le dit l’adage populaire, l’espoir fait vivre. D’ailleurs, au niveau des sociétés, nous assistons à une pièce de théâtre où chacun a un rôle déterminé, les pouvoirs en place avec leurs cours et leurs discours contribuant à cette utopie. Les guerres et les révoltes sociales en sont le contrepoids. Les messages de paix, de tolérance fondés sur le dialogue productif, tant au niveau planétaire qu’au sein des sociétés, sont– ils des messages d’utopie ou seront-t-ils concrétisés dans un avenir proche pour éviter, par exemple, que la religion ne soit utilisée à des fins de tensions entre le monde musulman et l’Occident, préjudiciable  à l’avenir de l’humanité qui a besoin de tolérance?  C’est que les guerres de religion ont fait recette – rappelons les guerres entre catholiques et protestants, la persécution des juifs – et l’on a pu, paradoxalement, utiliser ces termes antinomiques de « guerre sainte », alors que les livres saints ont pour fondement tolérance et respect d’autrui.  Or, depuis de longues années, je suis convaincu, avec de nombreux intellectuels de différentes sensibilités et nationalités, que la symbiose des apports du monde musulman et de l’Occident par le dialogue des cultures – Islam, Judaïsme et Christianisme étant des religions de tolérance, pour ne citer que ces grandes religions monothéistes –, devant respecter toute croyance de chacun, permettront d’éviter ces chocs de civilisations préjudiciables à l’avenir de l’humanité.

3.-Le sommet de la société civile  des deux rives  de la méditerranée occidentale : pour un  lac de paix et de prospérité partagée

Le sommet de la société civile  des deux rives  de la méditerranée occidentale le 24 juin  2018 en France, son Excellence, le Président de la république, Monsieur Abdelaziz Bouteflika, m’a désigné   pour diriger la délégation algérienne, lors  la rencontre internationale  le 24 juin 2019  en France ,  groupe 5 + 5  (Portugal, Espagne, France, Italie, Malte pour la rive Nord, Mauritanie, Maroc, Algérie, Tunisie, Libye ,pour la rive Sud) ; étant  confiant  de l’avenir de l’Algérie, acteur de la stabilité de la région méditerranéenne et africaine ,  dans le cadre de l’approfondissement de la coopération  avec  les pays du pourtour méditerranéen et des pays africains riverains.  Plusieurs rencontres  de coordination entre janvier et juin 2019, avec les pays  du contour méditerranéen  auront lieu que je dirigerai pour l’Algérie. Cette  importante rencontre internationale  regroupera , les chefs d’Etat et de gouvernement, le Président de la banque mondiale, les présidents de la BEI, de la BERD  ,   le directeur général de l’OCDE  et  les acteurs  non étatiques  de la société civile dans toute leur  diversité, économique, social, culturel. Son lancement politique  aura leu à l’occasion de la 15ème réunion  des Ministres des affaires étrangères  du dialogue 5+5 le 18 janvier 2019 à la Valette. Cinq groupes ont été constitués : le Maroc dirigera  le volet économie et innovation, le Portugal, la culture, l’Italiele développement durable, Malte  jeunesse et mobilité et  l’Algérie a eu le volet  le plus important, ayant  été chargée du dossier transition énergétique : projets de coopération au niveau de la région, énergies classiques, énergies non conventionnelles, énergie renouvelable, efficacité énergétique, et d’une manière générale proposer le nouveau modèle de consommation énergétique 2020/2030..  

En résumé,  le renforcement des relations entre le monde musulman et l’Occident, d’une manière générale entre l’Orient et l’Occident, la promotion des synergies culturelles, économiques, politiques sont seules à même d’intensifier une coopération pour un développement durable ente le Nord et le Sud, et ce afin de faire de notre univers un lac de paix d’où seront bannis l’extrémisme, le terrorisme et la haine. Cela implique  une paix durable au Moyen Orient, ce berceau des civilisations où les populations juives et arabes partagent une histoire millénaire de cohabitation pacifique et  d’atténuer par le dialogue les conflits à travers la planète , tout en n’oubliant pas le défi écologique  et le problème de l’eau enjeu du XXIème siècle.  Ces enjeux  posent la problématique stratégique des liens dialectiques entre sécurité et développement, entre morale des personnes chargés de gérer la Cité  et développement. 

 (1) références Pr Abderrahmane Mebtoul

1.--Intervention A l’American Herald tribune 11 aout 2018 (question sur la stratégie énergétique de l’Algérie) «  Dr. Abderrahmane Mebtoul: “Algeria Still Faces Significant Challenges » - pour lire l’original en, anglais ( 13 pages) site -https://ahtribune.com/interview/2424-abderrahmane-mebtoul.html – contribution -Interviews à l’American Herald Tribune 28 décembre 2016 (58 pages)  et au quotidien financier français la Tribune.fr mars 2017  « toute déstabilisation de l’Algérie aurait un impact sur l’espace méditerranéen et africain »-  - Contribution internationale Londres/Bruxelles Site Mena Forum « Algeria, in an unfinished transition period Challenges of 2018, 2020 & 2030 Algeria: Reform » by Dr A. Mebtoul | Aug 5, 2018  - Ouvrage collectif sous  la direction du professeur Abderrahmane MEBTOUL «  Les enjeux de l’Algérie : réformes et démocratie »  2 volumes Casbah Edition Alger- 2005 (520 pages)

-Conférence du professeur Abderrahmane Mebtoul le 26 novembre 2014 au Club des Pins Palais des Nations Alger –en présence du premier ministre, de la majorité des membres du gouvernement et des cadres de la Nation- qui faisait suite  au débat que j’ai  tenu à Radio France Internationale RFI Paris le 12 novembre 2014, avec le Pr Antoine Halff  ex économiste en chef du gouverne ment  Barak Obama  et directeur de la prospective à l’AIE , sur « les perspectives de la chute du cous des hydrocarbures et leurs impacts  sur l’économie algérienne » -Ouvrage collectif « Les enjeux géostratégiques de l’intégration du grand Maghreb » Edition Harmattan Paris/ France – 2015 sous la direction d’Abderrahmane Mebtoul et de Camille  Sari deux ouvrages (1050 pages)  Le premier ouvrage collectif s’intitule,  « quelle gouvernance  et quelles institutions au Maghreb face aux enjeux géostratégiques ».  Le second ouvrage collectif traite  « de l’intégration économique maghrébine, un destin obligé. -Contribution Institut Français des Relations Internationales – IFRI- « La coopération Europe/Maghreb face aux enjeux géostratégiques 55 pages 04 avril  2011 »  et  du même auteur «   la problématique de la sphère informelle au Maghreb (IFRI 28 pages 03 décembre 2013).   L’Afrique, le Maghreb face aux enjeux des   flux migratoires » site Afrik Press Paris France deux parties 24/27 juin 2018

2.-Sous le   haut  patronage  de  son Excellence  Monsieur  le  président  de  la  République Abdelaziz BOUTEFLIKA  1er Congrès sur la sécurité énergétique, alimentaire et de l’eau 01 avril 2018  CIC  Alger- Face aux nouvelles mutations énergétiques mondiales :pour un nouveau mangement stratégique  le 19 avril 2018  Professeur des universités, expert international, sous  le Haut Parrainage de son Excellence,  Monsieur le Président de la République Abdelaziz BOUTEFLIKA des 11è-me journées du JST   de Sonatrach  Oran du 16 au 19 avril  2018  -« l’Algérie face aux trafics et au terrorisme   au niveau de la  région sahélienne »-  Ministère de la défense nationale -Institut  de Documentation, d’Evaluation et  de  Prospective trafic des frontières et la sécurité au Sahel sous le patronage de Monsieur Ahmed GAID SALAH  vice ministre de la défense nationale, chef d’Etat major de l’ANP. Le Pr Abderrahmane Mebtoul interviendra en décembre 2018 à l’invitation du   Ministère de la défense nationale -Institut  de Documentation, d’Evaluation et  de  Prospective qui organisera une rencontre internationale sur le thème « «  l’environnement sécuritaire de l’Algérie en 2035 :quelles conséquences pour notre outil de défense »

3.- Intervention du professeur Abderrahmane Mebtoul à l’invitation de « l’Alliance pour Refonder la Gouvernance en Afrique (ARGA) » constituée d’importants acteurs africains et non africains)), qui a organisé une grande rencontre internationale entre le 26/30 janvier 2014 sur le thème « l’Afrique doit réinventer son économie », « face aux enjeux géostratégiques, le développement et la sécurité de l’Afrique doivent se fonder sur l’Etat de Droit et la bonne gouvernance ». -Intervention du Professeur Abderrahmane Mebtoul invité d’honneur du Professeur Jean-Pierre Chevènement, président de l’Association Algérie-France et de la fondation Res Publica qui a organisé une rencontre avec d’importantes personnalités des deux rives de la Méditerranée en partenariat avec l‘Union européenne le 17 février 2014 à Paris sur le thème : « le Maghreb et l’Afrique face aux enjeux géostratégiques mondiales » - Conférence du même auteur au Caire en 1999.Voir du même auteur l’article publié dans le « Washington Times », USA, juin 1999, et la revue internationale « Gaz d’aujourd’hui », novembre décembre 2002, Paris/France  .- Conférences sur le même thème du Docteur A. Mebtoul à l’Académie militaire Inter- Armes de Cherchell- l’Université de Constantine, à l’Université Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou et à l’Université d’été de Hassi Messaoud entre 1999/2002 sur « Enjeux des acteurs et problématique des réformes et la Démocratie en Algérie face au processus de la mondialisation » ronéotypés dans l’ouvrage du même titre de l’auteur à l’office des publications universitaires – OPU- Alger (2 tomes 540 pages 2002)  

4.- Sur les mutations géostratégiques  militaires, politiques sociales et économiques- voir la  Revue  IEMed 2017 -Barcelone -Espagne  , un important collectif  analysant  la sécurité, le politique, l’économique, le social et le culturel  de la région méditerranéenne  auquel a contribué  le professeur  Abderrahmane Mebtoul  sur le thème « impact de la baisse du cours des hydrocarbures sur les équilibres macro-financiers et macro-sociaux  de l’économie algérienne : urgence  d’une nouvelle politique économique » , vient  de paraitre   sous la direction du professeur Senen Florensa, ancien diplomate et  ministre espagnol,  Président de  l’ Annuaire  IEMed  (516 pages), préfacé  par Johannes Hahn Commissaire  européen  à la politique de voisinage   aux négociations  d’élargissement.    Ont contribué 51 personnalités  internationales  (ministres-  diplomates- politiques, militaires, économistes , sociologues, historiens-écrivains )    des deux rives  de la Méditerranée  en huit  chapitres interdépendants :   1.-le conflit arabo-israélien revisité -2.-les défis à venir de l’union européenne -3.--l’avenir de l’Islam 4.-(Dé) Radicalisation  et sécurité et leurs effets - sur al région méditerranéenne  - 5.-Bilan  et partenariat des pays  -les pays méditerranéens / union  européenne -Balkans occidentaux  -Maghreb -Moyen Orient et Turquie -Les autres acteurs 6.-secteurs stratégiques (sécurité et politique) -7.-Economie et territoire - 8.--Société et culture



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