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Monsieur Amar Saâdani ou l’incarnation du bien contre le mal

06-11-2016 16:23  Contribution

Aujourd’hui, exceptionnellement, je retire ma casquette en qualité de Directeur Général des droits de l’Homme universel au sein du FICODUN pour redevenir un concitoyen algérien, soucieux du devenir de l’Algérie, et m’exprimer sur les derniers évènements à rebondissements qui ont marqué le quotidien des algériens, notamment, au niveau du FLN, un parti politique historique fort et respectable à plus d’un titre. 

Pour la présentation, nous, FICODUN, sommes une organisation internationale non gouvernementale caritative et non lucrative chargée de la lutte contre la corruption et de la défense des droits de l’Homme universel, sous l’égide des Nations Unis et de l’Union Européenne et dont le siège est en Espagne. Nos missions sont exclusivement humanitaires et notre principale feuille de route reste étroitement liée au développement du bien-être des peuples et à la prospérité des nations dans une planète de paix, de fraternité et écologiquement saine.

En réponse à des commentaires qui nous sont parvenus tout récemment, FICODUN s’excuse humblement auprès des hautes personnalités que nous avions incriminées et dénoncées à tort alors qu’en réalité il n’en est de rien car nous avions vérifié l’authenticité de la liste qui nous a été communiquée et nous avons constaté que  celle-ci est erronée et relève exclusivement des règlements de compte abjects. Par ailleurs, nous avions pris connaissance tout récemment de quelques vils dénigrements dirigés à l’encontre de Messieurs Chakib KHELIL & consort et, particulièrement, Monsieur Amar SAADANI que nous avions trouvé insensés et absurdes. Ils ont attenté iniquement à des personnalités irréprochables en tout point de vue. Et, j’insiste pour le rappeler à qui veut bien connaître la vérité que ceux-là sont des sommités Algériennes avérées, dignes d’égard et de respect. Pour en avoir le cœur net, parlons-en une fois pour toute afin de mettre un terme définitif à toutes supputations ou calomnies colportées par certains détracteurs en panne d’idées : 

Monsieur Chakib KHELIL est avant tout un intellectuel surdoué et un universitaire sorti des grandes universités américaines avec un PHD en poche. Il est polyglotte par excellence et il est un fin stratège de l’économie internationale, l’énergie et la finance comme il n’y en a jamais eu en Algérie. Son intégrité, ses compétences et ses valeurs font de lui un technocrate Algérien hors pair. Il a incontestablement fait de SONATRACH et de SONELGAZ de vrais fleurons de l’Algérie moderne. L’ordre, la discipline et la rigueur étaient de mise partout. Mais tout cela a dérangé bien des gens peu enclin au sérieux et au travail rigoureux comme seule condition susceptible de conduire une nation au progrès authentique et à la prospérité à l’image des pays émergents.

Les programmes de Monsieur Chakib KHELIL étaient, certes, très ambitieux et audacieux mais soigneusement étudiés. Il était entouré de cadres compétents, dynamiques et tous animé de bonne foi. La sélection se faisait sur la base de critères de compétitivité ou de bourse de l’emploi. La conscience professionnelle et l’engagement prévalaient avant toute chose et chaque cadre était tenu par l’obligation de résultat. La mobilité quinquennale des cadres étaient un choix judicieux à l’épanouissement tout un chacun et la formation tout azimut n’avait point de répit. Jamais le Ministère de l’Energie et ses entreprises ne se sont sentis aussi sereins et rassurés. Sur le plan de la diplomatie et de l’économie, Monsieur Chakib KHELIL a toujours été à la hauteur et ses interventions pertinentes ont été toujours prises en considération, ce qui lui a valu, à juste titre, la présidence de l’OPEP et le respect de nombreuses nations.


Puis voilà, du jour au lendemain et à la surprise générale, il est accusé de tous les maux sans preuve évidente et tous ses cadres sont manu-militari traînés dans la boue, humiliés puis jetés en prison sous les ordres diaboliques de certains services de renseignement algériens (DRS) sous prétexte qu’il y a eu des dilapidations des deniers publics alors qu’ils ne savent même la signification. Ils n’ont même pas été capables de faire la différence entre une entreprise publique gérée par le code du marché et celle régie par le code du commerce mais lorsqu’ils l’ont su, qu’importe, il fallait quand-même garder tous les cadres, notamment, ceux de SONATRACH et ses filiales en prison et pour longtemps. Il leur fallait trouver des prétextes fallacieux pour mettre à mal le programme riche et ambitieux du Président de la République Abdelaziz BOUTEFLIKA.


Or, pour l’atteindre il fallait affaiblir l’économie nationale en cassant le principal outil de production géré des mains de maîtres par les meilleurs cadres de SONATRACH et de ses filiales à un moment où le prix du baril avait atteint les 120 US$ le baril. Pour le DRS, tout était facile ; ils ont le pouvoir, la ruse et pas l’intelligence. Il suffisait, juste, trouver des stratagèmes et une presse acquise à leurs méfaits et le tour était joué en concomitance, bien entendu, avec certains journaux comme le quotidien El Watan avec à leur tête, Salima TLEMÇANI, journaliste inhumaine et belliqueuse, sans foi ni loi, formée pour désinformer et tirer à boulets rouges sur tout ce qui marche bien dans ce beau pays, hélas et bien malheureusement ! Ces donneurs d’ordres maléfiques, à l’image de l’ex. général major TEWFIC qui faisait et défaisait les rois comme bon lui semble a, sans doute, oublié qu’il y a un bon Dieu éternel et au-dessus de tous !


Et grâce à Dieu, Monsieur Abdelaziz BOUTEFLIKA, en sa qualité de Président de la république, a enfin compris la menace et entendu les cris de détresse et le gémissement des 4.500 cadres Algériens incarcérés arbitrairement sur la base de faux rapports du DRS, parce que dérangeant de par leurs compétences et intégrités professionnelles avérées. Pour la moralité, il se trouve que l’ex. Général TEWFIC n’est pas un Dieu et la justice divine finit toujours par triompher et l’histoire finira par le rattraper et il répondra de ses actes ignobles devant la loi et Dieu, le jour du jugement dernier. Heureux, l’Homme qui a su se montrer humble, sage, magnanime, juste et loyal ! M. TEWFIC, tout comme certains de ses acolytes du DRS, a sans doute oublié qu’il était investi de la mission noble intelligence et qu’il était assermenté pour servir son pays honorablement, protéger le peuple Algérien et venir à bout des barons de la drogue qui empoisonnent la vie de nos enfants. Il n’est, donc, nullement question de persécuter quiconque sans motif valable, encore moins, des cadres innocents sans parler des disparus qui chaque jour font la une des journaux.


Bien sûr que dans les rangs du DRS, il y a quand même beaucoup d’Hommes braves et courageux, lucides et consciencieux qui ont risqué à maintes reprises leur vie et parfois même payé un lourd tribut pour la stabilité de l’Algérie. Certains ne dépassent guère le grade de Colonel, parfois même, poussé dans l’indifférence à la porte sans la moindre citation ou remerciement. In fine, et sans énumérer son parcours semé d’intrigues et de conspirations, si bien révélés par les uns et les autres, le règne sans partage de l’ex. patron des services de renseignement n’a pas été très reluisant. Par conséquent, je ne comprends pas pourquoi certains avocats, probablement, en quête de gloire et de passe-droits, se sont constitués en groupe de légion de combat pour défendre un Homme puissant qui n’a guère besoin d’eux ? Bien pire encore, ils appellent le peuple à se rallier à eux pour s’attaquer à un Homme sincère, direct et courageux, en la personne de Monsieur Amar SAADANI qui a, tout simplement, osé dire haut et fort ce que tout Algérien pense tout bas. Et là, on s’interroge : 


1°) Ces diables d’avocats, sans honneur ni moralité comme s’accordent à le dire beaucoup d’Algériens outrés par un tel comportement, pourquoi ne l’ont-ils pas fait lorsque Monsieur Amar SAADANI était au pouvoir ? N’est-ce pas là une preuve de lâcheté caractérisée ?

2°) Ces mêmes avocats impertinents comptent assurer la défense bénévole de Sieur TEWFIC mais pour quels intérêts si soudains et obscures ? Ils parlent de patriotisme, et bien pourquoi n’ont-ils pas défendu notre cher et regretté Mohamed BOUDIAF en demandant une vraie enquête sur le lâche assassinat d’un Grand Homme Historique qui a marqué la révolution algérienne ? 

3°) Ces mêmes avocats de la cause perdue, pourquoi ne défendent-ils pas bénévolement ces héroïques patriotes ou gardes communaux qui ont perdu leurs emplois juste après la décennie noire ? Dieu sait combien le mérite leur revient ces valeureux patriotes dont beaucoup sont morts pour la paix et la stabilité de notre pays ! 

4°) Monsieur Amar SAADANI ne nous a-t-il pas délivré de la tyrannie des services du DRS qui régnaient en maître absolu ?

5°) Monsieur Amar SAADANI n’a-t-il pas contribué de toutes ses forces et sa bonne foi, contre vents et marées, pour faire basculer l’Algérie dans l’ordre d’un l’Etat civil démocratique ? Ce mérite, oh combien, est louable ! 


6°) Monsieur Amar SAADANI n’a-t-il pas eu la témérité impressionnant de casser les tabous et braver les interdis pour dénoncer à juste titre les dépassements et les agissements excessives du patron du DRS ? 

 7°) Monsieur Amar SAADANI n’a-t-il pas été le premier Homme politique qui a eu la noblesse et le courage indélébile de réhabiliter CHAKIB Khelil et à faire connaître au peuple Algérien la vraie personnalité charismatique et honorable de ce dernier?

8°) Monsieur Amar SAADANI n’a-t-il pas été le seul, ou du moins, parmi les premiers à défendre les cadres algériens intègres, incarcérés abusivement sous le sceau de soi-disant la campagne de la lutte contre la corruption très maladroitement orchestrée par les services du DRS ? N’oublions pas que certains sont devenus fous ou malades, les uns ont fui leur pays à contre cœur, d’autres sont sortis prématurément en retraites et les plus intrépides ont mis leur talents et leur savoir-faire aux profits des firmes étrangères sous d’autres cieux.

9°) Monsieur Amar SAADANI est taxé tantôt joueur de percussion ("drabki") tantôt de marionnette à la solde de certaines forces occultes du pouvoir. En réponse aux envieux de cette première allégation incohérente, je dirais est-ce un vice désobligeant de jouer de la percussion ? Bill CLINTON ne joue-t-il pas du saxophone ? Est-ce une bourde d’être, à la fois, un artiste et un Homme politique, bien sûr que non ! En réponse à la seconde allégation fortuite, ne voit-on pas que Monsieur Amar SAADANI est secrétaire Général du FLN et que le Président du parti n’est autre que Monsieur Abdelaziz BOUTEFLIKA. N’est-ce pas, tout-à-fait, logique et normal de s’aligner sur un programme préalablement tracé par son Président ? Par conséquent, il n’a, absolument, rien de marionnette à assumer des directives précises de son parti politique. Bien au contraire, il a été largement à la hauteur de ses fonctions et tout monde s’en félicite !

Rien que pour cela, les détracteurs de Monsieur Amar SAADANI devraient avoir honte et lui présenter des excuses ou, à la limite, se taire ! Amar SAADANI ne s’est attaqué qu’aux gens despotes et de mauvaise foi. Il défend les pauvres, les démunis et les cadres intègres et ce n’est, certainement pas, le parti des travailleurs qui a bougé le moindre petit doigt. En notre âme et conscience, qui a mieux fait en si peu de temps depuis l’indépendance à ce jour ? Son départ prématuré du FLN est une perte regrettable, nourri d’un gout amer, sans aucun doute !  Mais désormais, le nom de Monsieur Amar SAADANI rentre inexorablement dans l’histoire et dans la mémoire des Algériens pour la sincérité de ses discours, sa fidélité exemplaire et son courage exceptionnel qui se résument en une seule phrase légitime : Monsieur Amar SAADANI a été l’incarnation du bien contre le mal dans ce beau pays que nous aimons tous. Rendons-lui, s’il vous plaît, un vibrant hommage car il mérite, tout au moins, notre gratitude et respect pour tout ce qu’il a fait.

Pardonnez-moi, chers concitoyens, mais il faut que je reprenne ma casquette d’humanitaire mondial toujours en quête d’Amour, de Paix et de Prospérité dans le monde.

M. DOUAIDI Mustapha,

Directeur Général des droits de l’Homme universel, FICODUN. 



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