Voilà un site français qui a fait de la politique algérienne son crédo en colportant rumeurs et gros bobards qui font les délices des salons algérois. Bien évidemment, ces ragots sortent de ces mêmes salons et trouvent en Mondafrique un espace médiatique pour les propager.
Tantôt c'est le président Bouteflika qui ne s'entend plus avec son vice-ministre de la défense lequel est sur le point d'être dégommé, dans une seconde version "son avenir est moins sombre" (à la bonne heure !), une autre fois, c'est M. Othmane Tartag, le patron des services de sécurité, rattachés à la présidence, qui serait sur le point d'être viré à cause de ses "relations exécrables" avec le général Gaid Salah, "il est sur un siège éjectable" écrit-il, une autre fois c'est toujours le général Gaid Salah (décidément !) qui en veut au général Abdelghani Hamel, une autre fois c'est Ouyahia qui a "expliqué aux représentants (?) du Clan Présidentiel (??) que Rebrab n’a aucune intention de financer un candidat concurrent qui pourrait nuire à leurs intérêts dans le pays" (rigolo tout ça !).
On va continuer à rire : "Bouteflika pique même une grosse colère et demande à ses conseillers de rappeler à l’ordre Ali Haddad. Le message du chef de l’Etat est clair : « La diplomatie, c’est mon territoire et tu n’as plus le droit de traiter ces dossiers auxquels tu ne comprends absolument rien." (MDR comme disent les jeunes).
Et ce n'est pas fini ! Maintenant c'est le général à la retraite Toufik, ex DRS, "qui devrait présider un haut conseil à la sécurité à la présidence".
Cela dit, il faut relever que depuis la création de ce site, pas une seule information n'a été confirmée ou n'a trouvé un tant soit peu de vérité, que des rumeurs à l'instar de celle qu'il a colportée donnant pour propriétaire de notre journal un ancien chef de département à la présidence du temps de Chadli Bendjeddid.
Une autre fois, il avait affirmé que nous travaillons pour le compte de Said Bouteflika, une autre fois de Bachir Tartag et la prochaine ce sera le tour... du pape François. Une autre fois encore, il nous avait accusé, sans la moindre preuve, de l'avoir piraté (bigre !) alors que nous sommes totalement profanes dans ce domaine puisque très peu connaisseurs de l'informatique.
Le plus désolant ce sont les lecteurs algériens et surtout quelques journalistes algériens qui prennent pour argent comptant ces bobards en les retwittant.