Le choléraest venu. A frappé. A tué. Mystérieusement ?

Quenenni !

Vraisemblablement,il n’y a aucune raison à ne pas croire les autorités- sauf pour les promoteurs,nageant en eaux troubles, des eaux minérales lucratives, et qui ne perdent pasle nord- quand ils ‘’blanchissent’’ l’eau potable.

Même si la sourcede Sidi El-Kebir a été épinglée. Ce que retoquent ses riverains, en y prenantde bonnes lampées.

Vraisemblablement-alors-il n’y a aucune raison de ne pas croire que la contamination ne fût point venued’une irrigation- mille fois coupable- par eaux usées de fruits d’été les plusconsommables et les plus rentables. Tel crime n’ayant plus rien du scoop, dureste.

La ronde etjuteuse pastèque, à l’index ? Faut pas le jurer mais tous les lots mis surle marché cette saison, renfermaient des stries blanchâtres prononcées toutautour de ses côtés et en sa pleine circonférence. Un contraste évident avec sarougeur naturelle.

Des signeslouches. Fatals pour les paranos- surtout- mais tenaces.

Un peu commela verdissure des moutons de l’Aïd des deux années passées dont on apprendraplus tard qu’ils ont été engraissés aux produits dopants en usage dans leculturisme.

Dessupputations mais -au moins- une certitude : toutes les barrières de lamorale et des scrupules ont sauté dans le commerce !

‘’ Chauds,les rats’’ ? Non, Toto, on prononce ‘’Choléra’’ !