A la vue du bourgeonqui éclate. Des champs fleuris. Et du soleil dardant d’un printemps qui rit.Splendide et prégnant de prémices heureux.
Toutes ceseffluves de la vie…
Que nous avonsoubliées. Et encore plus oubliées. Par virus avenant. Pliant auxfrayeurs d’un ennemi insidieux, invisible et létal.
Faille-t-il quecette bonne vieille humanité reprenne dans un chorus universel.
Cette partitionimmortelle tirée du vieux gospel- tout autant éternel- et de la légendaireprotest song. Qui chante la révolte de l’espèce humaine devant toutes lesadversités.
«We shallovercome»!
Pour dire à Covid- ce monstre qui bouffe les humains par fournéesentières- que l’Homme finira par lui triompher.
Parce que son désir de vivre est- en soi- plusfort que la mort.
Tant que leprintemps existe. Avec ses milles couleurs. Ses fleurs enivrantes. Et ses pétalesd’allégresse. Semées dans les cœurs de 7 à 77 ans.
(* Nous triompherons)