Initié par Cheikh Khaled Bentounès,béni par le président de la République et consacré par l’ONU, le concept du‘’vivre ensemble’’- un pilier fondamental d’un édifice sur lequel repose uneHumanité en déficit d’affect, désormais- ne trouve pas- à priori- son painbéni, céans.
Pour preuve, le tollé démesuré suscitépar une ‘’troisième colonne’’ –vraisemblablement d’esprit revêche- autour d'unevidéo- désespérément- virale, mettant en scène un enseignant avec barbe etqamis, lauréat d’un prix et la sémillante ministre de l’Education nationale.
Késako ?
L’humble employé a refusé latraditionnelle poignée de main de sa responsable hiérarchique.
Et alors ?
La conviction profonde du quidam n’enfait pas forcément un ‘’salafiste horripilant’’.
Tout comme celle de Nouria Benghabrit-pour ne pas la nommer- une femme aigrie et haineuse qui va le licencier sur lechamp.
En fait, les deux protagonistes ont-quelque peu, quelque part- donné une belle image du ‘’ vivre ensemble’’.
Pas cette suspicieuse ‘’troisièmecolonne’’, criant haro sur le baudet !