-Emploi decomplaisance pour une cohorte de près de 3000 agents de voieries, où lesintouchables ‘’âaraya’’ touchent le sou, sans jamais pointer au boulot,préférant pointer la lame sur la gorge de la structure d’affectation pour lescoucher sur l’état de paie intégrale.
Soit, lapaix pour travailler ailleurs, avec un œil sur les avantages de la mamelle du ’’social’’.
Laparenthèse voudrait ici que la commune en question est l’une des plus sales dupays ! Et le fait est ostentatoirement vérifiable.
-Ensuitevient pêle-mêle et selon le degré de nuisance du quidam, le couffin du pauvredu ramadhan, un local commercial ‘’toute option’’, un logement à prête-nom etc.
-D’autresplus initiés, se jettent sur le filon des ODS à fourguer aux entreprises,tellement fructifère et sans risques.
Mais fautsurtout pas croire que cela reste de l’apanage exclusif des paumés. Le modefait rage, itou, même chez les élus.
Tenez, demauvaises langues assurent qu’un élu a eu l’ingéniosité, une fois, et tout crocsdehors, d’imposer le paiement d’un camion de voierie fictif, à près du demi-milliard.Les saletés s’en vont et les preuves avec !
Lesillustrations pouvant aller à l’infini, le meilleur de ce pire est à venir :la Canaille se mobilise déjà pour les futures communales.
Le filon esttoujours là, hors de portée de toute austérité : il suffit seulement de gueulerfort en agitant les poings ou le couteau et la timbale tombera…bien sonnante ettrébuchante !