Ya- t-il quelqu’un- ou quelqu’une,tiens- pour éclairer la notre lanterne, siouplait ?
Elle cligne de l’œil,blafarde et opaque. Mais elle brûle les neurones des grands -et des moinsgrands- angoissés devant l’improbable table de poker.
Où semble se jouer la partie présidentielle2019.
Makri nous dit que Boutef- s’ilpassait la cinquième- serait la cata. Mais le fieffé islamiste s’accommoderaitvolontiers de portefeuilles- sonnants et trébuchants ?- en future Primature croulant sous des délugesd’apocalypse !
Si Ali Benflis qui avait pourtantabordé la partie comme avec 4 ’’As’’ dans la manche se raidit, figé par la peur d’une quinte flushvirtuelle.
Le troisième joueur-encore unAli- un jeune loup aux dents longues-semble manier à la perfection les règles du poker.
Dans ce jeu, la maitrise despulsions, le culot et le bluff constituentles fondamentaux.
Jusque-là, Ghediri qui propose la chute dusystème- sans garantie de filet pour la Cité- assure avoir réuni les 60 000 signatures -enun tournemain- et fondre sur 2 autres millions. CQFD?
Et Boutef ?
Ben, Boutef, il dit rien. Iljoue !
Quid de Louisa ?
Malotru, c’est une Dame, ellejoue pas au poker !