Non, il nes’agit pas d’un hommage à titre posthume à ce grand écrivain américain, WilliamFaulkner, qui fut Prix Nobel de littérature en 1949, déjà. Il fut aussi auteurgénial de ‘’Absalon, Absalon !’’ et de …’’Lumière d’août’’, tiens,tiens !
Mais delumières- au pluriel- qui ont irradié le ciel du pays, presque sansdiscontinuer.
Celles d’unecanicule rarement observée de mémoire d’homme, d’abord, suivie, ensuite -ouconcurremment, l’une n’allant pas forcément sans l’autre- par des incendies etfeux de forêts terriblement ravageurs.
Celles,surtout, et dont tout le monde est si friand, de la politique.
Et là, ce n’est plus des lumières mais dessunlights qui balaient de leurs feux les visages rayonnants ou déconfits selon lecasting sur scène.
Selon aussi,le statut de l’heure, qui va de celui de ‘’martyr de la chose’’, exempleTebboune, Benagoun et d’autres victimes collatérales à celui des héros- degrâce ne faites pas de liaison phonétique, ce serait vilain !- du moment,piaffant de fierté comme le feraient ces bons chevaux ''de retour'', exemple...