Il s’en va,le mois à nul autre pareil, laissant somme toute, bien des dégâts dans l’espritdes hommes.

Ceux quin’ont pas observé le jeûne. Ceux qui l’ont ‘’cassé’’ par colère noire. Lesgrands lâches qui y ont trouvé décret pour la petite hogra. Et enfin les‘’inommables’’.

C’est-à-direceux qui sucent le sang de leurs frères et congénères en flambant leurnourriture.

De ces faux dévotsqui ont fait passer, par exemple, la courgette de 20 DA jeudi, à 200 levendredi arguant, hypocrites comme y a pas, que le prophète (QSSL a béni lecommerce).

Il s’en va,perdant chaque année un peu plus de sa saveur et des tonnes de nos valeurs.

Il revientl’an prochain, et en vous le souhaitant toujours meilleur, nos meilleurs vœux pourl’Aïd.

SahhaAïdkoum !