Jadis leterme, avilissant à l’extrême, désignait ces encagoulés de collabos quidonnaient leurs frères de sang et de nation à la soldatesque de l’occupantfrançais. Ceux qui «trahissaient leur patrie en vendant leur honneur »-pour paraphraser un grand homme- !
Mais cinqdécades après le départ définitif du colonisateur, la formule est toujoursd’actualité.
Revisitée,elle pointe, désormais, ces Rastignac des temps modernes- veules et la sagacitédu héros de Balzac en moins- affairés à acheter les hommes et leurs consciencespour atteindre des aspirations de gueusailles.
Ainsi, telmaire ‘’récidiviste’’, ventripotent de panse et à la nuque, la cervelle déportéeaux tibias, mobilise bourse et boucherie pour faire tête de liste dans un partides plus huppés.
Et le fourbea réussi ! Proposant aux uns quelques milliards- dépréciés- et aux autrestantôt un poulet, tantôt une livre d’agneau ; quand ce n’est pas un maigresandwich dans un fast-food mal famé.
Ceci n’estpas un conte débile pour attardés mentaux. Mais une triste réalité. A l’aunedes communales du 23 novembre…et celle de l’Algérie nouvelle !