Séquence 1.Chargée de forte émotion du film ‘’L’opium et le bâton’’. Ali, le grandmoudjahid refuse de saluer le drapeau français. Son compagnon de combat lancesa harangue puisée dans les valeurs ancestrales du peuple : ‘’ Ali Moûtewaguef’’. Le héros resta debout, encaissant une rafale dans le dos. Et sur sonâme un staccato de youyous et de clameurs de sa dechra.
Séquence2.Film en grandeur nature. En Algérie du hirak. Tous les laudateurs hyper zélésde Bouteflika- sur plus de 20 ans- entonnent le requiem sur la main qui les afaits nourrir- grassement, richement, illicitement- tournent casaque avec unculot qui n’a d’égal que la marque du fer rouge gravé- désormais- sur leurs visages.
Tentative dese refaire une virginité ? Peu, peu, peu- ou alors pas du tout- évident.Le peuple qui marche et abhorre- par essence- la lâcheté et la vilénie montre la voie de sortie. la poubelle de l'Histoire!
(* Formulepopulaire pour recommander de mourir dans la dignité)