On en estquand même et finalement arrivé au point culminant du pire.
‘’Acheter dupoison avec son argent’’, consigne la raillerie du terroir. Nous y sommes enplein dedans, en mettant le prix fort, en sus. Celui de la devise forte, partemps de disette encore.
Tant quevive l’import-import juteux, confortablement adossé à son propre crédo :‘’Sans foi, ni loi’’.
L’échantillondu parfum Relax- Déclaré toxique et mortel- qui défraie la chronique ensoulevant le cœur, n’est hélas qu’un parmi plein d’autres.
Bien demauvaises langues - ou esprits éclairés, c’est selon- jurent que les cancers ne se sont jamais aussi bien porté, eux, que depuisl’avènement de cette autre spécificité algérienne : l’import-importoutrancier .
Ce qui restedésopilant par-dessus tout est que le phénomène vogue allégrement entre desmesures administratives extrémistes, oscillant entre le bannissement radical oul’ouverture à tout vent.
Le justemilieu salutaire ? Connais pas !