Aussi vraique l’amour puisse être aveugle, a contrario le ressentiment souvent seconstruit sur la Lumière.
Tenez, moipar exemple, j’aime pas, mais alors pas du tout Avigdor Lieberman.
Ni comme ministre de la défense, présentement,de la République anti canonique des fils de Sion. Soit Israël, de façon prosaïque.
Ni encore, hier, quand il était MAEde la même entité.
Pourquoi jel’aime pas ?
Y a d’abordson prénom qui revient pas à mes mandibules. Avigdor ! Il pouvait pas s’appelercomme tout le monde, le mec ?
Son nomensuite, usurpateur qui vole au doberman si classe et élégant sa tonalité quandlui reste très pitbull- pitbull.
Son rictuscarnassier, enfin, qui lui sert de sourire sur un visage en grève illimitée debonheur humain.
Maintenant, que machin Lieberman ait pu s’illustrer de quelques morceaux d’anthologiediplomatique quand il était à la tête des Etrangères de la République sus-nommée, moi j’aime bien.
Entre autres:
«LesArabes israéliens qui sont contre nous méritent de se faire décapiter à lahache».
Ou encore :
«Jepropose de transporter les prisonniers palestiniens en autocars jusqu’à la merMorte pour les noyer».
Moi j’aimebien que je vous dis car l’Avigdor, pince sans rire, il fornique sa République!