Il était unefois, dans une contrée politico- économico- -socio cosmpolite, un régentrégissant les affaires de la cité.
Mister T,qu’il s’appelait le régent. Ceux qui l’aimaient bien l’appelaientaffectueusement ‘’Papa-Noël-le-logis’, allez savoir pourquoi !
Un des cesquatre et alors que la canicule battait son plein -et le pavé sur les massifsforestiers, allumant mille brasiers- il en a comme pris un coup d’insolation sur la caboche déjà mi chauve, le Mister.
Et là, onvous dit pas, un coup de soleil sur crâne dégarni, ça vous déboussole jusqu’ àprendre les vessies pour les lanternes. Ou encore des fantasmes pour des notices d'Etat-ou inversement- Et là ça nepardonne pas, quand on est régent de la Cité, que non.
Mister T avite compris. Il doit se détendre. Dans le plus grand secret, il fixe ses desiderata.
La Côted’Azur pour faire trempette, l’île deFrance pour la causette et Chisinau- non, c’est pas en Chine, c’est enMoldavie- pour faire risette…et plus siaffinités !
Comme touthomme d’état qui se respecte, il instruisit ses services secrets les plussecrets de garder le strict secret de son plan D- D, pour détente-
C’est pourquoi,termine le conte, Mister T lâcha un juron, à son retour dans la contrée :
-«Nom d’unlogement inachevé, mais c’est ébruité sur tous les parchemins de la Cité, jevais… »
Mister T seréveilla brusquement, s’étira un grand coup puis gloussa : « Oh, monDieu, quel mauvais rêve…. »