Dans un communiqué transmis à notre rédaction, le RCD France estime que par ses déclarations dur RTL, l'ambassadeur d'Algérie à Paris, Missoum Sbih, "traduit une position défensive mal assurée et et une innocence aussi mal feinte".
Le parti de Saïd Sadi récuse les affirmations de l'ambassadeur selon lesquelles la presse est libre et les partis s'expriment. "Les médias lourds sont sous le contrôle direct et strict du pouvoir" alors que les activités des partis "sont interdites" comme cela a été illustré par la marche du RCD.
Le communiqué ironise aussi sur l'ambassadeur qui "s'est trompé d'époque" en évoquant un plan quadriennal de 3 milliards de dollars au lieu d'un plan quinquennal de près de 300 milliards de dollars. En somme, l'ambassadeur" a aggravé le score" contre son propre camp par l'ensemble de ses dénégations.