Et alors que le Tout Puissant a institué Ramadhan comme étant Son mois où seule la spiritualitéa droit de cité, l’affaire tourne au désespoir chez nous. An après an. Quivient pire que celui qui s’en va.
Souffrez que je vous narre, un brin, ‘’ces longs jours d’avant’’ précédant ce moisde piété, quelque part dans un quartier citadin- là où sent bon le filon- commetous les autres.
A la différence qu’il renferme enpremière -et dernière- infraction des commerces de gros qui roulent au détail.
Suffisant pour ameuter hordes etcohortes de futurs jeûneurs, une livrede pensées pour Dieu et des pesées entières de victuailles diverses.
Le tout sur fond de processions devoitures dès 7h du mat. au Maghreb, une anarchie routière impliquant forcément des klaxonsininterrompus contre la deuxième, voire la troisième position.
Un spectacle qui a enhardi un chinoisdu BTP qui passait par là à me demander si ‘’le Maroc nous avait déjà déclaréla guerre’’- Cela juste pour rire-
La gravité du fait, maintenant :l’historie est authentique. Sans unzeste d’excès.
Et honni soit qui mal y ‘’panse’’ !